TADEJ POGAČAR ÉBLOUIT LE MONDE DU CYCLISME : IL REFUSE UN CONTRAT DE 475 MILLIONS DE DOLLARS DE ROG-LJUBLJANA — « MA LOYAUTÉ EST ENVERS LES ÉMIRATS »

Coup de théâtre qui secoue le monde du cyclisme professionnel : la superstar slovène Tadej Pogačar a rejeté une offre astronomique de 475 millions de dollars de ROG-Ljubljana, son équipe locale, préférant rester fidèle à UAE Team Emirates.
Le champion du Tour de France de 26 ans, largement considéré comme l’un des plus grands talents de sa génération, se serait vu proposer un contrat sans précédent pour revenir à ses racines et devenir l’égérie d’un projet cycliste à long terme basé en Slovénie. Mais malgré l’attrait émotionnel et financier, Pogačar a préféré la loyauté à la fortune.
Dans un communiqué publié lundi matin, Pogačar a déclaré : « J’ai toujours cru en mes rêves, mais j’en ai déjà réalisé certains avec Emirates. Cette équipe a cru en moi alors que peu d’autres l’ont fait, et ensemble, nous avons écrit l’histoire. Ma loyauté va à Emirates. »
Ce contrat de 475 millions de dollars aurait fait de lui le cycliste le mieux payé de l’histoire, éclipsant de loin tous les revenus actuels ou passés du sport. Des sources internes affirment que l’offre comprenait non seulement un salaire, mais aussi des participations, des rôles d’ambassadeur après la retraite et un contrôle total sur l’équipe d’entraînement et le calendrier des courses.
Malgré ce montant exorbitant, la décision de Pogačar transmet un message plus profond : la passion, la confiance et un héritage partagé comptent plus que tout chiffre. Son lien avec l’équipe UAE Team Emirates lui a valu plusieurs titres du Tour de France, une victoire au Monument et une communauté de fans mondiale.
Mauro Gianetti, directeur de l’équipe UAE, a salué la décision du coureur : « Tadej est plus qu’un champion, c’est un membre de la famille. Nous sommes honorés par son engagement et inspirés par ses valeurs. »
Décidé à poursuivre son parcours avec Emirates, Pogačar prouve une fois de plus que l’excellence ne se résume pas à la victoire, mais qu’il faut choisir l’essentiel.
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