Tadej Pogacar est un cycliste à part pour de nombreuses raisons. C’est toutefois la combinaison de toutes ces qualités qui le distingue des autres. Dans une récente interview où il s’est montré plus détendu et plus ouvert sur son entourage et son mode de vie, il est possible de mieux comprendre la mentalité du Slovène. En savoir plus…

« Je ne peux pas rester à la maison à ne rien faire. J’adore le cyclisme et la compétition ; j’en fais depuis l’âge de neuf ans. L’adrénaline fait partie intégrante de ma vie », a déclaré Pogacar à la Gazzetta dello Sport. Ce cycliste passionné est reconnu dans la région monégasque comme un excellent partenaire d’entraînement. Plusieurs coureurs ont connu une véritable renaissance ces dernières années grâce à son accompagnement. Tim Wellens et Michael Matthews, par exemple, continuent de performer au plus haut niveau, même après plus de 30 ans.

« Mais il y a une chose qui me motive plus que tout : repousser mes limites. L’entraînement, la compétition, tout. Trouver de nouvelles façons d’avancer, de rester au sommet. En bref : être la meilleure version de moi-même. »

De fait, Pogacar a réussi cet exploit, signant ses deux meilleures saisons à ce jour et se montrant inarrêtable dans toutes les courses où les ascensions jouent un rôle déterminant. En 2026, il visera Milan-San Remo et Paris-Roubaix, deux monuments qu’il n’a pas encore remportés, puis le Tour de France et les Championnats du monde comme objectifs majeurs pour la seconde moitié de saison, où il devrait être l’homme à battre si tout se déroule comme prévu.