Urška Žigart se confie sur les difficultés cachées de l’entraînement hivernal : « Rouler sous la pluie et le froid, c’est comme signer un contrat sans lire les petites lignes ».

Urška Žigart se confie sur les difficultés cachées de l’entraînement hivernal : « Rouler sous la pluie et le froid, c’est comme signer un contrat sans lire les petites lignes ».

La cycliste slovène Urška Žigart a une fois de plus captivé l’attention – et l’empathie – de ses fans du monde entier avec sa réflexion sincère sur les dures réalités de l’entraînement hivernal. Reconnue pour sa résilience, sa détermination et son honnêteté rafraîchissante, Žigart a décrit avec force ce que signifie affronter des conditions climatiques extrêmes au nom de la performance et du professionnalisme.

 

Dans une publication sur les réseaux sociaux qui a immédiatement trouvé un écho auprès de la communauté cycliste, Žigart a comparé le fait de rouler sous la pluie et le froid à « signer un contrat sans lire les petites lignes ». Son analogie, à la fois humoristique et terriblement juste, décrit une situation que beaucoup de cyclistes connaissent bien : partir plein d’optimisme pour rentrer trempé, transi de froid, le nez qui coule « comme une fontaine municipale », et avec l’impression d’avoir absorbé l’équivalent d’une année de pluie en une seule sortie.

 

Derrière l’humour se cache cependant un message plus profond sur les exigences physiques et mentales imposées aux cyclistes professionnels, surtout en hiver. Pour Žigart, qui court au plus haut niveau du cyclisme féminin et est fiancée au champion du monde Tadej Pogačar, l’entraînement ne s’arrête pas à cause du mauvais temps. Chaque kilomètre, aussi froid ou humide soit-il, contribue à la préparation dont elle a besoin pour briller la saison prochaine.

 

L’entraînement hivernal est depuis longtemps considéré comme l’une des phases les plus difficiles de l’année pour un cycliste professionnel. Si les sorties estivales sont souvent pittoresques et motivantes, les séances hivernales sont synonymes de météo imprévisible, de basses températures et de risques accrus de maladie, de chute et de fatigue. Les réflexions de Žigart mettent en lumière le côté moins glamour du cyclisme, un aspect rarement vu par les fans mais qui joue un rôle crucial dans la formation des champions.

 

Sa sincérité a suscité un large soutien de la part de ses pairs, des fans et même des entraîneurs, qui ont salué sa capacité à trouver de l’humour dans l’adversité. Nombreux sont ceux qui ont souligné la justesse de son récit, faisant remarquer que quiconque a déjà roulé sous une pluie froide sait à quel point c’est un mélange unique de souffrance et de détermination.

 

Selon des sources au sein de son équipe, Žigart traverse actuellement une phase d’entraînement cruciale en vue de la saison 2026, une année qui s’annonce charnière pour sa carrière. Alors que des rumeurs indiquent qu’elle vise un bel avenir dans les grandes courses par étapes et les épreuves d’un jour, son engagement, même dans les pires conditions hivernales, témoigne de son ambition et de son sérieux.

 

Malgré la rudesse de son environnement d’entraînement, Žigart est restée optimiste. Ses proches affirment que sa capacité à rire dans les moments les plus difficiles est l’une de ses plus grandes forces, l’aidant à garder les pieds sur terre et à rester motivée. Son message rappelle aussi aux jeunes cyclistes que le succès ne se construit pas seulement sous le soleil radieux ; il se forge dans le froid, la pluie et ces moments où abandonner serait la solution de facilité.

 

Alors que l’hiver s’installe en Europe, Žigart continue de progresser, déterminée à transformer chaque sortie glaciale en énergie pour la saison à venir. Et s’il y a une chose que sa dernière réflexion prouve, c’est que même les journées les plus difficiles à vélo peuvent devenir des histoires de résilience, d’humour et de force humaine.

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