Pogi a même surpassé l’exploit de l’année dernière Tadej Pogačar a stupéfié le monde du cyclisme avec son attaque colossale de 101 km, remportant ainsi l’or mondial sur route à Zurich en 2024. Douze mois plus tard, il a conservé son titre grâce à une attaque encore plus longue…

Pogačar surpasse son propre exploit avec un autre solo monumental et conserve son titre mondial

Tadej Pogačar a une fois de plus repoussé les limites de l’excellence cycliste, réalisant une performance dont on parlera pendant des décennies. La superstar slovène, déjà une légende à seulement 26 ans, a conservé son titre de Champion du Monde de Course sur Route UCI grâce à une attaque longue distance époustouflante à Kigali, au Rwanda, allant même plus loin que sa course déjà historique à Zurich l’année dernière.

 

En 2024, Pogačar a stupéfié le monde du cyclisme en lançant une échappée solitaire époustouflante de 101 kilomètres à Zurich, repoussant un groupe de poursuivants d’élite pour s’emparer du maillot arc-en-ciel. Cette course a été saluée comme l’un des plus grands exploits du cyclisme moderne, évoquant des légendes comme Fausto Coppi et Eddy Merckx. Mais en 2025, Pogačar a trouvé une nouvelle vitesse et une nouvelle page d’histoire à écrire.

 

Cette fois, à plus de 110 kilomètres de l’arrivée sur le rude parcours rwandais, le Slovène lança son attaque dans l’une des montées abruptes entourant Kigali. Le peloton fut momentanément déstabilisé, et si certains rivaux hésitaient, Pogačar, lui, ne laissa rien paraître. Il s’enfonça dans l’effort, creusant un écart qui dépassa rapidement la minute.

 

Derrière, Remco Evenepoel, Jai Hindley, Tom Pidcock et Mattias Skjelmose tentèrent d’organiser une poursuite. L’écart se maintint un moment, mais le rythme implacable et les prouesses en montée de Pogačar se révélèrent trop forts. Chaque tour sur le circuit exigeant de Kigali minait le moral des poursuivants, tandis que le Slovène continuait de paraître presque sans effort en tête.

 

À l’arrivée des 20 derniers kilomètres, il était clair que l’issue était inévitable. Pogačar a abordé la dernière ligne droite, de nouveau décoré de banderoles arc-en-ciel, accueilli par une foule en liesse et une marée de drapeaux slovènes. Franchissant la ligne d’arrivée en solo, les bras levés, il s’est imposé comme non seulement le tenant du titre, mais aussi comme un homme capable de surpasser ses propres exploits légendaires.

 

« C’est irréel », a déclaré Pogačar après coup. « L’année dernière à Zurich était spéciale, mais gagner à nouveau, et de cette façon, dépasse mon imagination. Le public ici au Rwanda m’a donné une telle énergie. Je voulais tout donner, et je crois que j’y suis parvenu. »

 

Sa fiancée, Urška Žigart, sa collègue cycliste professionnelle, a été parmi les premières à le féliciter sur la ligne d’arrivée, rayonnante de fierté. Cette victoire a déclenché une liesse générale parmi les supporters slovènes, qui considèrent désormais leur héros comme l’un des plus grands coureurs de tous les temps.

 

Les historiens du cyclisme ont rapidement classé cette course parmi les plus remarquables de l’histoire. « Ce que Pogačar a accompli deux années de suite est sans précédent dans le cyclisme moderne », a déclaré un commentateur. « Gagner avec des attaques de plus de 100 kilomètres deux années de suite, personne ne l’aurait cru possible. »

 

Pour ses rivaux, la question est désormais on ne peut plus claire : comment battre un coureur doté d’une telle audace, d’une telle endurance et d’un tel génie ? Pour les fans, en revanche, l’admiration est de mise. À Kigali, Tadej Pogačar n’a pas seulement défendu son maillot arc-en-ciel : il a donné à son sport des couleurs encore plus audacieuses et éclatantes.

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